Et ce en dépit de la Convention du travail maritime – ratifiée par la Suisse en 2011 – qui "impose notamment le droit à la liberté syndicale". "Nous avons fait de nombreuses démarches afin d'entamer une discussion. Mais le groupe refuse de négocier", a expliqué Norrie McVicar, président du groupe de travail off-shore de la Fédération internationale des ouvriers du transport. Les représentants des syndicats, venus de Nouvelle-Zélande, d'Australie, de Norvège, d'Indonésie ou encore d'Ecosse, ont remis une lettre de protestation avec leurs revendications.
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