Sur place, les agents ont constaté que le conducteur – qui n’a pas été blessé – était sous l’emprise de l’alcool (2,4‰) et qu’il se trouvait sous le coup d’un retrait de son permis de conduire. Par ailleurs, les plaques apposées ne correspondaient au véhicule utilisé, qui n’était pas couvert par une assurance responsabilité civile. Les sapeurs-pompiers ont dû intervenir pour neutraliser les hydrocarbures répandus sur la chaussée.
Le véhicule accidenté a été séquestré et mis en fourrière.