Pour la troisième fois, Tatroz accueillait samedi un Marché-concours de franches-montagnes. L’occasion de rencontrer quelques éleveurs de ce cheval qui a bien dépassé son image de lourdeur.
ÉRIC BULLIARD
ÉLEVAGE. «J’ai toujours adoré les animaux. A 13 ans, chez un éleveur qui proposait des balades, j’ai été mis sur un cheval et je suis parti. J’avais l’impression d’être un cow-boy!» Ce jour-là, Jérémie Korpès a «chopé le virus» et ne l’a plus perdu. A 26 ans, cet étudiant ingénieur agronome est gérant du Syndicat chevalin de la Veveyse, qui organisait samedi à Tatroz son troisième Marché-concours de franches-montagnes.
«L’idée est de mettre en valeur le syndicat et les franchesmontagnes de la région», poursuit Jérémie Korpès. L’idée est née quand Henri Bérard, éleveur et membre du…