Après Armstrong, Contador, Ullrich, Merckx et beaucoup d’autres, c’est au tour de Chris Froome d’être pris dans une affaire de dopage. Le contrôle «anormal» dont il a fait l’objet n’a rien de très spectaculaire. Le salbutamol, dont il a abusé, est autorisé, mais à certaines conditions. C’est là que se situe l’enjeu du feuilleton juridique qui s’annonce. Pris par comprimé ou par intraveineuse, il a clairement des propriétés anabolisantes. Inhalé, en revanche, il n’a pas d’autres vertus que de terrasser une quinte de toux. Le Britannique risque une suspension et de se voir retirer sa victoire lors de la dernière Vuelta.
Le coureur jure ses grands dieux qu’il a simplement soigné cet asthme dont il souffre depuis l’adolescence. Il lui sera forcément plus difficile d’expliquer pourquoi il a…