Le quadragénaire qui avait fracassé à la masse le bureau d’une assistante sociale, à Romont, a été condamné à 240 joursamendes, avec un sursis de trois ans.
FRANÇOIS PHARISA
L’homme de 42 ans qui avait asséné en janvier 2017 un coup de masse dans un bureau du Service social à Romont et blessé le chef du Service général échappe à une peine privative de liberté. Le juge de police du Tribunal de la Glâne, Grégoire Bovet, l’a condamné hier à une peine pécuniaire de 240 jours-amendes, avec sursis pendant trois ans – le jouramende est fixé à 10 francs – pour lésions corporelles simples, dommages à la propriété et menaces. Il l’a en revanche acquitté du chef d’inculpation d’infraction à la Loi sur les stupéfiants.
Le sursis est conditionné à deux règles de conduite: un suivi psychiatrique régulier…