PAR YANN GUERCHANIK
Paul (Matt Damon), juste avant le grand saut dans le petit.
12 cm, c’est bien DOWNSIZING. En 1989, Chérie,j’airétrécilesgossesse présentait comme une succession de scènes illustrant les défis que des héros rapetissés devaient affronter dans un monde devenu gigantesque. La pelouse changée en forêt amazonienne, une simple mouche en dinosaure, un bol de Cherrios en mer déchaînée. On en attendait autant de Downsizing, les progrès du numérique en plus. Raté!
A vrai dire, le dernier film d’Alexander Payne confine à l’arnaque. Il pourrait raconter la même histoire avec des gens de taille réelle que ça n’y changerait pas grand-chose. Mais, là où on ne l’y attendait pas, Downsizingménage tout de même quelque intérêt.
L’histoire? Paul Safranek (Matt Damon du côté burlesque de la…