Un manque de forces vives

Ce lecteur met en garde contre la surcharge de travail du personnel hospitalier.

Le canton de Fribourg et la Gruyère peuvent être fiers de leur hôpital. Pour y avoir séjourné dernièrement pour une maladie peu banale, je me dois de réagir à certaines positions négatives au sujet des soins et de la prise en charge des patients de notre hôpital régional. Dès mon arrivée aux urgences, j’ai été rassuré par la bienveillance des médecins et du personnel de ce service. Pourtant, il n’est pas très rassurant de se rendre dans un établissement de santé, alors que le monde des bien portants fête la fin de l’année. Bravo et merci à tous les médecins, urgentistes, chirurgiens et au personnel paramédical de la grande maison. Cependant… J’ai observé durant ce séjour hospitalier, une tension au sein du personnel, tout particulièrement des infirmières d’étage, parfois à la limite du burn-out. Trop, c’est trop? C’est le moment de réagir et de redonner un coup de pouce à ce service qui manque de forces vives pour accomplir dignement ses tâches. Attention! Danger! J’en appelle au monde politique et aux dirigeants de la santé, qu’ils prennent garde aux restrictions de personnel des services de la santé pour améliorer les budgets et faire plaisir aux citoyens de notre canton. Hélas! La santé a un prix et il faut le payer. Ce n’est pas au personnel et aux patients de supporter de tels agissements. Remettez vos compteurs à  zéro et pensez à celles et ceux qui permettent à tout un chacun de retrouver la joie de vivre en bonne santé. Merci à tous de m’avoir permis de retrouver la santé grâce aux bons soins donnés à l’hôpital de Riaz. Roger Overney, Broc

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