Priscilla Brülhart présentera un spectacle de kathak ce samedi dans le cadre de la Nuit des musées gruériens. Portrait.
SOPHIE WOELDGEN
ART. Une longue chevelure rousse, la peau pâle. Priscilla Brülhart est gruérienne. D’où précisément? Ça reste une énigme. Son âge? «Je ne le dis jamais, c’est tabou.» Voilà les questions auxquelles elle ne répond pas.
Pour le reste, il faut s’accrocher. Une enfance à Monaco, une adolescence dans la région. Une passion pour la danse. Un diplôme de commerce et de gestion commerciale à 17 ans, car «la danse ce n’était pas un métier pour mes parents». Puis une année à pratiquer la danse, entre Monaco et Londres.
L’année révolue, Priscilla Brülhart arrête presque cette activité. «Je voulais être une professionnelle, pas suivre des cours du soir.» Elle…