Incarner la jeune héroïne de Hellblade:Senua’ssacrifice, c’est côtoyer quelques heures la schizophrénie. Loin des clichés, avec, en prime, de splendides décors et des combats épiques. Une jeune Picte défie les dieux des enfers pour sauver l’âme de son compagnon. La trame de Hellblade:Senua’ssacrifice sent le classique hack’n’slash, littéralement «taille et tranche» – c’est parti mon kiki, comme dirait mon papa s’il savait se servir d’un gamepad. Mais ce jeu propose bien plus que cela: une approche de la schizophrénie construite avec l’appui de scientifiques. Le jeu fait ainsi écho aux Journées de la schizophrénie, organisées cette semaine dans le canton et en Suisse romande (LaGruyèredu mardi 13 mars).
Dès les premières minutes de jeu, la jeune héroïne, magnifiquement incarnée par…