Conte déglingué et fictionnel

jeu, 03. mai. 2018

A la galerie Focale, à Nyon, Stéphane Lavoué expose Aterre, une série de portraits, de natures mortes et de paysages en dialogue avec la Bretagne, sa terre d’adoption. Rencontre.

CHRISTOPHE DUTOIT

Pour qui s’est un jour délecté des portraits en dernière page de Libération, Stéphane Lavoué n’est pas un inconnu. De passage samedi à Nyon, à l’occasion de son exposition à la galerie Focale, le photographe de 42 ans se souvient de l’«école Libé», de l’apprentissage de la lumière et de «l’intensité de chacune de ces rencontres».

Dès le tournant du millénaire, le Mulhousien a photographié des artistes, des sportifs, des politiciens, des patrons. «Souvent, je les faisais poser près d’une fenêtre. Dans les grands appartements parisiens, il n’y a jamais de lumière directe. La douceur qui…

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