Epistolairement vôtre

jeu, 28. juin. 2018

Daniel de Roulet
QUAND VOS NUITS SE MORCELLENT - 
LETTRE À FERDINAND HODLER
Zoé, 128 pages

C’est une lettre comme on pourrait vous en écrire, à vous, cher lecteur, car jamais vous n’êtes n’importe qui! Il y a toujours une part d’ombre chez chacun, que l’on a envie de découvrir, de dévoiler à coups d’archives, de carnets intimes grappillés de-ci de-là. Gaillardement, on y va de la citation, de la fiction, puis on s’excuse et on revient aux textes qui font foi. Vous vous prénommez Ferdinand, comme Ferdinand Hodler, peintre suisse (1853-1918). Dans le livre du Genevois Daniel de Roulet, on découvre que vous avez été très pauvre, que vous n’avez pas pu faire d’études, que votre père et votre mère sont morts de la tuberculose, que vos douze frères et sœurs sont morts les uns après les autres et…

L'article complet n'est disponible que pour les abonnés.

Annonces Emploi

Annonces Événements

Annonces Immobilier

Annonces diverses