L’abandon du rail intervient peu avant que le Bulle - Broc-Fabrique ne passe en voie normale.
Ce renoncement n’aura aucune conséquence sur ce projet, commentent les TPF.
L’usine Cailler n’est pas menacée, assure Nestlé, qui y investira plusieurs millions de francs.
JEAN GODEL
Faut-il y voir l’une des conséquences de la chasse à la rentabilité du nouveau directeur général de Nestlé, Mark Schneider, lui qui a mis toutes les entités de Nestlé au régime depuis son arrivée en 2017? En tout cas, l’usine Cailler de Broc renoncera dès cet été, sans doute au 1er septembre, au transport de marchandises par le rail. «Cette décision a été prise dans le cadre d’un projet qui vise à moderniser la logistique et à optimiser les flux de transports autour de notre site de Broc», explique, par courriel,…