IMBAPPABLES. Amis lecteurs, sachez-le: cette chronique s’épanchera sur la première demi-finale de la Coupe du monde, uniquement. Amis footballeurs, vous dont les yeux ont certainement suivi avec intérêt la rencontre Angleterre-Croatie, comprenez bien qu’à l’heure des trois coups de sifflet finals, votre journal sifflait sous presse.
Parlons donc franco-flamand. Car entre la France et la Belgique, mon soutien tanguait. Bien loin de cette haine à l’égard de nos voisins, partagée par tant de Romands complexés à l’excuse unique «on ne veut pas en entendre parler durant vingt ans», j’avais promis mon cœur à l’équipe qui saurait me séduire. Aujourd’hui, il n’est pas français. Mais pourquoi ne pas supporter les futurs champions du monde? Car oui, les Français coqueriqueront de joie dimanche…