La cinquième et dernière étape du Tour du canton a confronté mercredi les cyclistes à un effort particulier: la course de côte. A Hauteville, Adrien Chenaux n’a laissé aucune chance à ses rivaux. Retour sur ce quart d’heure de souffrance, géré d’abord au mental.
QUENTIN DOUSSE
A La Boussanna, presque à l’issue de la route alpestre surplombant Hauteville, une même scène se répète: après le bip, qui sonne la fin du supplice, le silence. Seulement brisé par les respirations haletantes – voire les larmes pour certains – du cycliste en quête d’oxygène. Court mais intense, l’effort a obligé chacun à aller titiller ses limites. C’est à la fois toute la difficulté et le «charme» de la course en côte.
Celle organisée mercredi soir à Hauteville, faisant office de dernière étape du Tour du canton,…