Le pinceau tourain qui redonne vie aux natures mortes

mar, 11. sep. 2018

La galerie Osmoz accueille Massimo Baroncelli pendant un mois. Naturesmortes propose de suivre le regard que pose l’artiste sur le monde des objets.

ANN-CHRISTIN NÖCHEL

 «Lorsqu’on a un verre à la main et que ce verre ne représente plus rien d’autre qu’un simple verre, alors on a commencé à s’ennuyer.» La citation n’est pas de Massimo Baroncelli, mais tirée et adaptée du roman L’ennui d’Alberto Moravia. L’artiste tourain l’a relue une trentaine de fois: elle a renforcé son intérêt pour l’objet et son envie de le rendre vivant.

C’est la première fois qu’il prend possession de la galerie Osmoz à Bulle. Il a choisi de présenter une trentaine de tableaux, récents et plus anciens, peints à l’aquarelle. Le fil conducteur de Natures mortes c’est donc l’objet. Un thème récurrent chez l’artiste,…

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