«Cela n’a rien à voir avec la météo, estime le président du comité d’organisation Charles Phillot. Et tous les échos que j’ai eus saluaient la qualité du programme.» Peut-être qu’il y a eu trop de manifestations cet été à Romont. «Après la Grande bénichon et les 200 ans de la fanfare, les gens ont pu ressentir une certaine saturation.»

Même s’il ne sera pas facile d’équilibrer les comptes, il affirme que la manifestation n’est pas en danger. «Ce n’est pas comme si nous accumulions les déficits. Différentes réflexions sont déjà en cours et des contacts ont été pris avec les acteurs de la région pour l’édition de 2020.»