A chaque fois, il surprend: avec Les rescapés, son excellent onzième album, Miossec change une nouvelle fois de cap, colore ses textes de sons inédits dans sa discographie. Entretien.
ÉRIC BULLIARD
Dans la foulée de Mammifères (2016), Miossec est parti en tournée acoustique, dans des petites salles et des lieux atypiques. Deux ans plus tard, il prend à nouveau un virage avec Les rescapés: créé en grande partie avec deux compères du précédent (la violoniste Mirabelle Gilis et le guitariste Leander Lyons), l’album contient des couleurs et des textures inédites chez Miossec. Ce qui n’a pas changé, c’est son intensité, sa manière de dire notre monde avec sincérité, ses mots directs et droits.
Pourquoi le choix de ces sonorités, inhabituelles chez vous, ces boîtes à rythmes, ces orgues, ces…