Un roman court, qui pulse

jeu, 20. sep. 2018

La Gruérienne Mélanie Richoz signe un cinquième roman, Le bus. L’histoire de femmes à la recherche d’elles-mêmes.

Cerise n’a pas de vagin, ni d’utérus. Elle souffre du syndrome de Mayer- Rokitanski- Kuster-Hauser («beaucoup de mots pour du vide, non?»). Cerise est au centre du dernier roman de Mélanie Richoz, Le bus. Avec son désir de maternité à enterrer, sa relation avec ses deux sœurs, Jeanne et Léonie, avec sa mère, avec sa nièce Chloé. Des histoires d’amour, de sexe, de recherche de soi, des histoires de femmes, mais pas forcément un roman pour les femmes. «Ce serait lui donner une enveloppe. Moi je m’attache à lui donner un contenu», précise l’auteure bulloise.

Un contenu qu’elle a, comme à son habitude, tiré d’une histoire vraie, de ces «petites bombes du quotidien» qu’elle…

L'article complet n'est disponible que pour les abonnés.

Annonces Emploi

Annonces Événements

Annonces Immobilier

Annonces diverses