Après une sombre enfance, un monde s’ouvre

jeu, 25. oct. 2018

Franck Maubert
L’EAU QUI PASSE
Gallimard, 144 pages

Le narrateur vit seul dans sa maison au bord d’une rivière: «En m’installant à Chêne-Bleu, j’ai voulu retrouver la force de l’enfance.» Cette enfance remonte peu à peu, avec ses souvenirs d’une vie à la campagne, auprès d’un couple de paysans, avant que ses grands-parents, si peu aimants, ne prennent le relais. Puis sa mère, cette inconnue, qui refuse de lui parler de son père et l’emmène en banlieue parisienne. A la Bibliothèque municipale, le jeune homme va découvrir les arts, se passionner pour la vie des peintres, passer des journées au Louvre, se nouer d’amitié avec le philosophe Jankélévitch…

Critique d’art, essayiste et romancier, Franck Maubert a forcément mis beaucoup de sa propre histoire dans ce bref roman, vibrant d’émotion…

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