Course-poursuite vers l’absurdité existentielle

mar, 27. nov. 2018

Samedi, la Compagnie du Passage jouait Funérailles d’hiver à La Tour-de-Trême, une pièce foutraque et burlesque, mais pas forcément drôle.

CHRISTOPHE DUTOIT

Ils sont douze sur scène, comme les douze apôtres, les douze hommes en colère ou les douze œufs dans leur boîte en carton. Parce que treize, au théâtre, ça porte la poisse. Douze comédiens donc, des Romands et des Belges, pour jouer Funérailles d’hiver, pièce écrite en 1978 par le dramaturge israélien Hanokh Levin. Une production d’ampleur, qui tourne ces prochaines semaines dans tout ce que la Suisse romande compte de théâtres intéressants.

Dans un décor minimal, autour de trois drapés, deux destins s’entremêlent. Celui du cousin Latshek Bobitshek, qui vient de perdre sa vieille mère et qui se prépare à l’enterrer le lendemain. Et…

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