Garder une lumière allumée, face à l’urgence et à l’impuissance

sam, 03. nov. 2018

La chorégraphe Fabienne Berger s’interroge sur la sensation d’urgence face au monde actuel. En invitant le spectateur au dialogue.

Puisqu’elles ont décidé de prendre la parole, autant le faire franchement: les voici debout derrière les micros, face au public, tout près de lui, après avoir traversé le plateau d’un pas décidé. Pour la première fois, la chorégraphe Fabienne Berger use de la voix et des mots comme d’outils supplémentaires pour entrer en résonance avec notre monde déliquescent. Et ce n’est pas la seule surprise qu’offre Le dernier qui s’en va laisse la lumière (allumée), la création que sa compagnie présente ce samedi encore à Nuithonie.
Les quatre danseuses ne s’expriment pas pour proclamer des vérités. Plutôt pour s’interroger, pour faire part de leurs doutes, qui deviennent…

L'article complet n'est disponible que pour les abonnés.

Annonces Emploi

Annonces Événements

Annonces Immobilier

Annonces diverses