La beauté dans sa plus simple limpidité

jeu, 21. fév. 2019

Rustin Man

DRIFT CODE
Domino Recording

Paul Webb est un musicien rare. Bassiste original de Talk Talk dans les années 1990, l’Anglais a connu jusqu’ici une carrière en solo qui se résume à un seul disque, Out of season (2002), fruit d’une sublime rencontre avec Beth Gibbons, la chanteuse de Portishead. Puis plus rien. Ou presque.

En janvier, toujours sous le pseudonyme de Rustin Man, le Londonien de 57 ans vient de publier Drift code, un opus de neuf titres hors du temps. Un ovni musical d’une pureté absolue, à l’image de Vanishing heart, le titre qui ouvre l’album. Quelques arpèges sur un vieux clavier, une guitare aérienne, un tambourin et cette voix languissante qui raconte ses plaies de cœur. La beauté dans sa plus simple limpidité. Et, comme au crépuscule de Talk Talk, les harmonies…

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