La fascinante (fausse) vérité du Baiser de Brancusi

jeu, 07. fév. 2019

Sophie Brocas

LE BAISER
Julliard, 306 pages

Il ne faut jamais se fier à la jaquette. Dans Le baiser, Sophie Brocas ne raconte pas l’histoire de The red mules de William McGregor Paxton (mais pourquoi ce tableau en couverture?), mais celle du Baiser de Constantin Brancusi. Parmi les quarante déclinaisons de cette sculpture de l’artiste roumain, l’une d’elles sert de cénotaphe à une certaine Tatiana Rachewskaïa, suicidée par amour en 1910 et enterrée au cimetière du Montparnasse, à Paris. Cette œuvre – qui fit scandale à l’époque – est au cœur d’une polémique sur sa propriété, à la suite d’une demande d’exportation en 2006, refusée par la France, qui la considère depuis comme un monument historique. A partir de ces faits réels, l’ancienne journaliste et désormais préfète de l’Eure et Loire…

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