«Y’en a point comme nous»

Une «précision» à propos des remontées mécaniques de Charmey.

Dans La Gruyère du samedi 16 mars, en page 2, le préfet Patrice Borcard mentionne que la commune dépense chaque année 400 000 francs pour le centre sportif. Il faut qu’il sache que cet argent des contribuables charmeysans sert essentiellement aux enfants du village et non à une société privée, mal gérée depuis longtemps. Voir les commentaires de Félix Grossrieder, ancien syndic, dans le même journal. CQFD… Gilles, probablement après un séjour à Charmey, a écrit: «Y’en a point, y’en a point comme nous…» Comprendra qui veut bien! Bernard Ecoffey, CharmeyTribune libre

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