Le Tribunal fédéral a jugé irrecevable le recours du propriétaire du Moderne, l’architecte genevois Michel Acquaroli, contre un arrêt du Tribunal cantonal. Le préfet de la Gruyère doit maintenant déterminer les modalités de la restauration des peintures murales de Cesa et Baroncelli.
JEAN GODEL
C’est désormais définitif: les peintures murales de Massimo Baroncelli et feu Jacques Cesa, dans la cage d’escalier menant à l’ancienne salle de spectacle du Moderne, à Bulle, ont des qualités artistiques et historiques incontestables. De même, elles font bel et bien partie intégrante de l’ancien Grand Hôtel Moderne et bénéficient donc comme lui d’une protection patrimoniale.
Dans son arrêt du 8 avril dernier, le Tribunal fédéral (TF) juge en effet irrecevable le recours de Michel Acquaroli,…