Présidente de l’INFRI, Ursula Schneider Schüttel réagit à un récent courrier de lecteur (La Gruyère du 18 mai) au sujet de Clos Fleuri, dans lequel elle était interpellée.

Je tiens à préciser certains faits:

1. L’Association fribourgeoise des institutions spécialisées (INFRI) ne conteste pas le fait qu’il y ait des améliorations à apporter à Clos Fleuri. Pourtant, ainsi que prévu, il est nécessaire de laisser aux différentes parties le temps de les réaliser. L’INFRI, qui compte environ 50 membres, n’est pas directement impliquée dans cette procédure, car c’est avant tout la tâche du conseil de fondation et de la commission du personnel.

2. En tant que présidente de l’INFRI, je défends en première ligne les intérêts des institutions. Dans un article paru dans La Gruyère du 7 mai relatant…