«J’avais l’interdiction de marcher dans ses traces»

jeu, 11. jui. 2019

Une décision, un événement, un accident… et tout bascule. Cette vie qu’on croyait toute tracée prend une autre direction, comme cela a été le cas pour Laurent Rumo, devenu primeur à l’âge de 22 ans alors qu’il se destinait au journalisme.

SOPHIE ROULIN

«Le choc, ça a été le décès de mon papa.» Laurent Rumo a alors 22 ans. Il étudie les relations internationales à l’Université de Genève. «J’étais en pleine session d’examens. Je terminais ma deuxième année.» Il avait choisi cette filière pour la diversité des thèmes abordés et pour l’ouverture sur le monde qu’elle offrait. «Un choix idéal pour devenir journaliste!» Il ne s’était alors jamais imaginé qu’il reprendrait le commerce familial de fruits et légumes, qui avait pignon sur rue à Bulle et à La Tour-de-Trême.

«Le déclencheur n’a pas…

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