Qui griffe et qui caresse

jeu, 26. sep. 2019

Angélique Eggenschwiler CHRONIQUES EN LIBERTÉ
L’Hèbe, 224 pages

Angélique, elle est d’enfer. Eggenschwiler de son patronyme: «A ce stade on ne s’appelle plus, on s’épelle», écrit l’auteure de 26 ans. Le sens de la formule au détour de chaque paragraphe, des images farouches pour révéler les saveurs du quotidien. Après Parfumdetérébenthine en 2016, elle publie un recueil de ses chroniques parues dans LaLiberté. Plus d'une centaine. A lire cul sec. Ou à petites gorgées, comme on sirote une anisette qui fait remonter les souvenirs. Si jeune et déjà tant d'histoires à raconter. Une sacrée observatrice, Angélique. D'un rien elle fait un sujet qui vous éclabousse de lumières.

On dit Angélique parce que, au fil de la lecture, on copine. Son recueil, c'est un peu comme un journal intime. On sait…

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