Avec La petite altitude, la culture contemporaine rencontrait le patrimoine, samedi au château de Bulle.
Il y a quelque chose de magique à entendre ces sons électro au sommet du donjon, ces mots tomber de la poutraison. Quelque chose d’incongru et de réjouissant à voir ces images projetées dans la cour, à découvrir cette installation où les écrits bruts entrent en écho avec les graffitis de ces vieux murs.
La petite altitude, dont la première édition s’est tenue samedi au château de Bulle, présentait plusieurs artistes qui participeront au festival Altitudes, l’année prochaine. Comme le fait son grand frère à la Part-Dieu, cette version réduite célèbre la rencontre entre culture contemporaine et patrimoine. «Cela correspond à l’ADN du festival et permet une expérience artistique qui peut…