La tique ne connaît plus de frontières

sam, 05. Jan. 2019

L’encéphalite à tique est en expansion. La Confédération veut étendre la zone à risque à l’ensemble du territoire. Les explications d’un spécialiste en infectiologie de l’Hôpital fribourgeois.

YANN GUERCHANIK

Les cas d’encéphalite à tique augmentent. Quelque 380 cas ont été recensés en 2018, soit 40% de plus qu’en 2017 et trois fois plus qu’en 2015. Cette infection virale peut entraîner des complications graves, parfois la mort. Elle ne connaît aucun traitement spécifique, mais un vaccin existe. Jusqu’à présent, ce dernier était recommandé aux personnes exposées dans le cadre de leur profession ou de leurs loisirs, des personnes menant des activités dans des «zones à risque».

Or, la Confédération est en passe d’étendre ces zones à l’ensemble du territoire, recommandant ainsi le vaccin…

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