Dans le cadre de son travail de master, la Veveysanne Pauline Iriarte s’est penchée sur les habitudes des Châtelois et des Romontois en matière de mobilité.
Résultats? Les sondés se déplacent surtout en voiture et beaucoup en sont frustrés.
L’étudiante appelle cela «la dissonance écologique»
CLAIRE PASQUIER
DÉPLACEMENTS. Pauline Iriarte vit aux Paccots, étudie à Lausanne et se rend très souvent chez son compagnon à Romont. Les transports publics, elle connaît. «Je n’ai pas de voiture, mais il m’arrive d’en prendre une pour mes loisirs ou mes sorties. C’est obligé quand le dernier bus pour Les Paccots est à 19 h 15…» C’est donc tout naturellement que l’étudiante a décidé de s’intéresser à la problématique de la mobilité dans le cadre de son master en géographie, spécialisé en urbanisme…