Quand l’élégance de Belin occulte le charme de Doillon

sam, 31. aoû. 2019

Alors que le rock de la charmeuse Lou Doillon a semblé tourner en boucle, le ténébreux Bertrand Belin a brillé de sa classe folle et de sa poésie entêtante, jeudi soir.

ÉRIC BULLIARD

HÔTEL DE VILLE. Décidément, ce gars ne cesse d’épater. Album après album, Bertrand Belin explore un univers singulier, fait de poésie grave, de rock hypnotique, de regard acéré sur le monde. Jeudi à l’Hôtel de Ville, le public est venu plus nombreux pour Lou Doillon, qui se produisait en seconde partie. Mais c’est bien le fascinant Belin qui a donné le concert phare de la soirée, dans la foulée de Persona, son magnifique sixième disque, sorti en début d’année.

Que ce soit en interview, sur disque ou sur scène, Bertrand Belin réussit cet étonnant mélange entre le posé, calculé, millimétré, et une forme de…

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