Une valeur sûre de la comédie à la française, des bons mots et des acteurs énergiques: Le prénom a ravi la salle CO2, samedi.
ÉRIC BULLIARD
Les trois coups du brigadier, le rideau rouge qui s’ouvre sur un appartement réaliste: bienvenue dans le théâtre français le plus traditionnel. Le prénom, que la saison culturelle de CO2 accueillait samedi à La Tour-de-Trême, se fond dans cet héritage, par sa mise en scène comme par son écriture.
Depuis le succès de sa première version – il y a près de dix ans – et plus encore depuis le film (avec Patrick Bruel et Charles Berling), l’histoire et ses rebondissements sont connus. Vincent, quadragénaire sûr de lui et de sa bonne fortune, va devenir père pour la première fois. Invité à un repas chez sa sœur Babou et son beau-frère Pierre (rejoints par…