Le pire et le meilleur

mar, 17. mar. 2020

A propos de la crise que nous traversons.

En quoi l’épidémie du coronavirus nous oblige-t-elle? Le fataliste la conçoit ainsi: il n’y a rien de bon à tirer d’une telle épreuve! Car elle paralyse tout le monde. Nous voilà confinés de force à la séparation, à l’isolement, au sacrifice de notre liberté de mouvement, d’agir et de faire comme bon nous semble. Nous voilà assiégés par la peur: «Ne dois-je pas me protéger de cette menace mortelle qui vient bousculer ma vie si tranquille, réglée, sécurisée.» Le fataliste est un égoïste qui ne pense qu’au pire. Et face au pire, à chacun de se débrouiller et tant pis pour les autres!

A l’opposé, il y a tous ceux qui regardent la situation avec lucidité, qui en prennent la mesure et, comme les autorités nous y enjoignent, y voient un immense appel à…

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