Ce lecteur s’alarme des dérives générées par la crise du coronavirus.
Alors même que l’humanité clairvoyante et solidaire en découd avec l’adversité virale et que la communauté scientifique, médicale et soignante s’acharne, parfois au péril de la leur, à sauver des vies, d’aucuns s’investissent de l’apostolat abscons de crier au loup, à la conspiration orchestrée, à l’intoxication pernicieuse, à l’oppression étatique et aux libertés muselées (sans doute, celles, ineptes, qui s’arrêtent là où commencent celles des autres).
De quels mobiles peut donc se nourrir l’aveuglement des séides de telles incongruités: idéologies fumeuses, panurgisme factieux, frustrations revanchardes, négationnisme atavique ou simplement déni d’une réalité par trop anxiogène?
Chaque crise majeure a engendré de…