Du bois pas si mort que ça pour favoriser la biodiversité

mar, 02. juin. 2020

PAR XAVIER SCHALLER

Eric Meier est le nouveau garde forestier du triage Haut-Intyamon. Tout beau, tout neuf, fraîchement diplômé et engagé depuis octobre. Il doit gérer une situation particulière, car de nombreux arbres meurent sur son territoire. «Surtout les épicéas, qui n’ont pas des racines très profondes et souffrent du changement climatique et de la sécheresse.»

Et ces arbres, il les laisse là, morts sur pied ou au sol. Ce qui fait cheni, aux yeux de certains, tout comme les chablis, les restes de coupes ou les souches. Exemple au-dessus de Neirivue, un versant est très exposé, au sol calcaire et sec. «Avant, la forêt était “bien rangée”, maintenant un peu moins, alors les gens s’inquiètent. Ça montre au moins qu’ils s’intéressent aux forêts.»

Aux alentours, le brun des arbres morts…

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