Covid oblige, cette édition de Festycharme s’est déroulée sur un jour – samedi – au lieu de trois, à Vounetz. «Cet endroit s’y prête parfaitement», s’enthousiasme Christine Repond-Bonnet. Vu les circonstances, la présidente du minifestival de jazz gratuit se dit enchantée de cette piqûre de rappel, «pour dire que l’on existe».

Les groupes se sont succédé jusque tard dans la soirée. Ils ont peu ou prou réuni les 300 spectateurs qu’autorisait la jauge, tout au long de la journée, estime la présidente. Le public s’est réparti entre la scène principale, à l’arrivée du télésiège, la miniscène proche du restaurant, et l’établissement luimême, bien fréquenté par les festivaliers. Pour l’année prochaine, Christine Repond-Bonnet caresse le rêve d’intégrer Vounetz au festival de musique. Lequel,…