Partir en vacances à l’étranger à Pâques relève du parcours du combattant. De nombreuses personnes ont renoncé à leur voyage. Tests PCR obligatoires et coûteux, probables mises en quarantaine au retour et vols réduits n’aident pas à se projeter les pieds en éventail sur une plage.
ANN-CHRISTIN NÖCHEL
D’habitude, relâches pascales et fin de l’hiver forment un cocktail favorable aux échappées ensoleillées. Les vacances de Pâques sont souvent synonymes de séjours balnéaires. Rappelez-vous, il y a un an, à la même période, la Suisse se trouvait en «situation extraordinaire». Les projets d’escapade n’étaient alors plus au goût du jour et de nombreuses personnes ont dû annuler ou reporter leur séjour.
Cette année, alors que le Conseil fédéral recommande toujours de renoncer aux voyages non…