L’intimité d’un salon pour faire entendre les mots de Duras

jeu, 24. juin. 2021

Dans leur volonté de «théâtre de proximité», Anne Schwaller et Guillaume Prin se proposent de servir la langue de Marguerite Duras. Leur adaptation de L’amant est à découvrir à Nuithonie.

ÉRIC BULLIARD

VILLARS-SUR-GLÂNE. Dans leurs regards, dans leurs mots, une vibration. Le plaisir de retrouver le jeu et le public, évidemment, mais aussi le bonheur de faire entendre Marguerite Duras. Sa langue singulière, ses élans de femme libre. Après Hamlet et Cyrano de Bergerac, Anne Schwaller et Guillaume Prin s’attaquent à un autre monument de la littérature: jusqu’au 4 juillet, ils présentent à Nuithonie, La petite au chapeau de feutre, une adaptation de L’amant. «Nous restons dans la continuité du travail commencé en 2016, c’est-à-dire dans du théâtre de proximité», explique Anne Schwaller. Avec…

L'article complet n'est disponible que pour les abonnés.

Annonces Emploi

Annonces Événements

Annonces Immobilier

Annonces diverses