Le statut de remplaçant, un casse-tête permanent

sam, 19. juin. 2021

QUENTIN DOUSSE

SUR LE BANC. «Etre remplaçant? Je l’ai vécu, pas forcément bien. Mais cela m’a plus aidé que détruit.» Hockeyeur de 22 ans, Axel Simic parle d’un statut abhorré comme d’une chance inopinée. Tous ne le voient pas de cet œil. Pourtant, chaque sportif passe un jour ou l’autre sur le banc.

«Au début, tu le prends dans la face. Je suis passé de la ligue A au troisième bloc en ligue B (avec Grasshopper). Cela m’a secoué. Puis, j’ai travaillé pour revenir plus fort le match d’après», confie le Gruérien, désormais attaquant à Davos.

L’adhésion au groupe est d’autant plus capitale durant un tournoi comme l’Euro 2020. Une compétition où chaque sélectionneur a emmené 26 hommes – au lieu de 23 – pour seulement onze places sur le terrain. «C’est un éternel cassetête, admet Michel Pont,…

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