Bulle(s) de confinement

mar, 23. nov. 2021

A l’arrivée du coronavirus, au printemps 2020, Jacques Maillard a photographie les rues désertes de Bulle. Il restitue ses images à la ville, sous la forme d’une éphémère fresque murale.

CHRISTOPHE DUTOIT

«Le ciel était gris et bas. Il n’y avait pas de lumière. Le dimanche surtout, les rues étaient vides. Comme il n’y avait plus grand-chose à faire à cette époque-là, il fallait bien s’occuper. Alors je tournais en ville avec mon vélo et je prenais des photos.» Comme beaucoup, Jacques Maillard a été très marqué par la période du premier confinement, au printemps 2020.

«A l’époque, on a beaucoup vu de photos de rues désertes. Je ne voulais pas suivre le même mouvement. J’ai investi le milieu de la route. Je cadrais de manière systématique et très frontale, avec l’horizon en plein centre de…

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