Celui qui va où il veut Ils sont quatre seulement, mais partout autour de nous. Cet été, LaGruyère donne carte blanche aux photographes et aux journalistes pour faire parler les quatre éléments. Premier épisode la tête en l’air et les cheveux au vent.
YANN GUERCHANIK
Des quatre éléments, c’est le plus difficile à imager. Reproduire visuellement l’air? Autant photographier l’homme invisible! On peut toutefois l’évoquer en jouant avec ses caractéristiques, avec les effets qu’il produit sur l’environnement.
En choisissant, par exemple, cet air bien connu qu’est le vent. Une de ses déclinaisons en somme, son frère bourlingueur, celui qui accidente le paysage naturel, le souffle qui anime à peu près tout. Lorsqu’il est en déplacement, l’air se fait appeler le vent et devient perceptible de…