FOOTBALL. Comme tout supporter des Reds, j’ai d’abord été pris de stupeur quand la notification est apparue sur mon téléphone le 3 juillet dernier: «Le joueur de Liverpool Diogo Jota meurt dans un accident de voiture.» Un état qui a vite laissé place à un sentiment d’incompréhension. Difficile de concevoir la disparition de l’un des héros du vingtième sacre national du club de la Mersey, à peine un mois après l’avoir célébré.
Un titre auquel l’attaquant portugais de 28 ans – disparu aux côtés de son frère André Silva – avait notamment contribué en inscrivant un but importantissime dans le derby face à Everton. Trois touches de balle, deux défenseurs dans le vent et un doigt pointé sur le blason de Liverpool. Une ultime réussite qui ré- sume à elle seule le footballeur qu’était Diogo…