Le nouveau film de Paul Thomas Anderson mélange les genres pour mieux secouer l’Amérique.
27 septembre 2025 à 00:01
Temps de lecture : 3 min
A peine sorti de ces deux heures quarante, on a envie d’y retourner. Pour essayer de comprendre. Non pas l’histoire, assez simple, mais ce qui s’est passé. Pourquoi on est secoué de la sorte. Comment il a fait, ce diable de Paul Thomas Anderson, pour lier avec un tel aplomb grand spectacle, humour cinglant et réflexion amère sur les Etats-Unis, tout en rendant hommage au cinéma, celui d’hier et celui d’aujourd’hui. Comment il s’y est pris pour donner à la fois cette impression de cavalcade sans fin, haletante, et de faux rythme où il est question d’amour filial, de désir de révolution, d’illusions perdues…
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