Une bataille après l’autre. L’Amérique en folle cavalcade

Le nouveau film de Paul Thomas Anderson mélange les genres pour mieux secouer l’Amérique.

Leonardo DiCaprio en révolutionnaire sorti de sa planque et de sa retraite
Eric Bulliard

Eric Bulliard

27 septembre 2025 à 00:01

Temps de lecture : 3 min

A peine sorti de ces deux heures quarante, on a envie d’y retourner. Pour essayer de comprendre. Non pas l’histoire, assez simple, mais ce qui s’est passé. Pourquoi on est secoué de la sorte. Comment il a fait, ce diable de Paul Thomas Anderson, pour lier avec un tel aplomb grand spectacle, humour cinglant et réflexion amère sur les Etats-Unis, tout en rendant hommage au cinéma, celui d’hier et celui d’aujourd’hui. Comment il s’y est pris pour donner à la fois cette impression de cavalcade sans fin, haletante, et de faux rythme où il est question d’amour filial, de désir de révolution, d’illusions perdues…

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