Bande dessinée. A la découverte des infinis avec Marc-Antoine Mathieu

La dernière invention de Marc-Antoine Mathieu nous interroge sur l’infini. Dans son exploration des possibilités de son art, le bédéaste nous tend une loupe pour le suivre.

Marc-Antoine Mathieu poursuit son exploration des codes du 9e art.
Romain Meyer

Romain Meyer

Aujourd’hui à 05:00

Temps de lecture : 2 min

Quand un scientifique et un philosophe se rencontrent, de quoi peuvent-ils bien parler? Pour Marc-Antoine Mathieu, leur sujet de conversation traitera de l’infini et, forcément, celle-ci va tourner en rond, ce qui est quand même un comble. Pourtant, comme à son habitude, l’auteur se plaît à relever les défis qu’il se donne à lui-même, jouant sur les mots et les situations et L’infiniment moyen ne fait pas exception. De plus, on y sent la belle influence de Raymond Devos: «– Dans le vide infini, nous sommes nulle part et partout. – Cela me rappelle le grand vide. – C’est déjà quelque chose.» Ou encore: «– Comment définir l’infini? – Impossible. – Il faudrait l’indéfinir.»

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