21 h 53: Réponse de Pauline de Vos Bolay. "La fécondation in vitro n'est pas une activité à charge de l'assurance de base. Elle est pour ainsi dire autoportée et permet à du personnel de haut vol de se former à côté de leurs activités quotidiennes."

21 h 50: Une intervenante s'interroge sur l'utilité d'un centre de procréation à la maternité de Fribourg, alors que deux centres performants existent à Berne et Lausanne. "Où est l'économie?" (applaudissements) 

21 h 42: Le public sur l'Hôpital de Riaz et sa maternité. Bernard Vermeulen "Le modèle de Riaz n'attire pas les médecins en formation qui recherchent avant tout un nombre d'actes élevé et un bon encadrement par les spécialistes."

21 h 30: Ignazio Cassis. "Il n'est pas possible de diminuer les coûts de la santé, toute la question est de ralentir leur croissance en améliorant la qualité des soins. Les pays ayant introduit les DRG ont fait un pas dans ce sens."

21 h 24: Ignazio Cassis. "Aucun des acteurs du système n'a envie de nuire au patient. Le législateur a prévu que les partenaires négocient entre eux. Et n'oublions pas que le système des DRG est le plus appliqué au monde."

21 h 16: Question du public sur les cliniques privées. La directrice de l'HFR: "La nouvelle loi permet au patient d'aller se faire soigner en privé, y compris en stationnaire. C'est donc une véritable concurrence."

20 h 59: Ignazio Cassis à Patrice Borcard. "Sortez de votre canton! Les patients voient d'abord la qualité des soins et non pas la distance. Il faut que Fribourg ait un hôpital dans le top ten suisse (applaudissement de l'autre moitié de la salle)".

20 h 57: Philippe Menoud. "Si Saanen ferme, c'est un problème de masse critique. Une norme se fait jour en Suisse, qui parle d'un bassin de 300'000 habitants pour un hôpital."

20 h 54: Patrice Borcard. "Des urgences sans soins aigus, c'est un centre de bobologie! Pour un canton de bientôt 320'000 habitants, deux centres de soins aigus ne sont pas de trop."

20 h 50: Bernard Vermeulen. "L'important, c'est d'organiser une bonne collaboration pour assurer la couverture de tout le territoire: permanences, urgences, satellisation autour d'un seul site de soins aigus."

20 h 45: Bernard Vermeulen, directeur médical de l'HFR. "On n'a jamais dit qu'on allait fermer les urgences à Riaz! La prise en charge d'une urgence n'implique pas des soins aigus de haute qualité."

20 h 40: Philippe Mercier. "L'Hôpital de Riaz doit absolument survivre. Ce qui m'inquiète, c'est les distances que le patient devra franchir à l'avenir."

20 h 37: Philippe Mercier, médecin généraliste, prend la parole. "Le grand oublié de tous nos débats, c'est le patient! (tonnerre d'applaudissements). Selon la loi, il a droit à une médecine de proximité et à la qualité des soins."

20 h 35. Interrogée sur les salaires prétendument élevés des employés de l'HFR, la directrice Pauline de Vos Bolay donne son joker (réaction de la salle, composée pour plus d'un tiers d'employés de l'HFR).

20 h 30: Patrice Borcard se demande si d'autres raisons ne sont pas à chercher pour expliquer la cherté de l'HFR.

20 h 20: Patrice Borcard, préfet de la Gruyère sur la planification "Le Sud fribourgeois a fourni déjà bien des efforts dans ce domaine. On a un peu l'impression d'être puni une deuxième fois. Le Nord n'a pas fait sa planification"

20 h 15: Ignazio Cassis. "Il s'agit d'un processus de changement culturel très difficile. Encore plus pour les politiciens: ceux qui ont voulu l'accélérer ont perdu leur place."

20 h 10: Ignazio Cassis, conseiller national tessinois, médecin membre du conseil d'administration des hôpitaux tessinois. "Oui, Fribourg doit rattraper très rapidement un certain retard. La structure multisites de 2007 est arrivée un peu tard."

20 h 05: Pauline de Vos Bolay: "Le scénario d'un hôpital unique de soins aigus tient compte des besoins de réadaptation, ainsi que du besoin de soins de proximité et de permanences."

20 h: Pauline de Vos Bolay, directrice générale de l'HFR évoque la spécialisation de la médecine. "La pénurie de médecins fait que ceux arrivant sur le marché du travail font leur shopping parmi l'offre de postes vacants."

19 h 50: Philippe Menoud: "Des listes circulent en Suisse avec entre 30 et 50 hôpitaux en tout et pour tout sans compter un seul établissement fribourgeois. Défendre son district, c'est d'abord défendre le canton et son hôpital."

19 h 45: Le débat public organisé par le PLR de la Gruyère au Pâquier fait salle comble (300 personnes). Philippe Menoud, président du conseil d'administration de l'HFR, prend la parole en premier pour poser le problème avant tout financier.