Mes chats, ma télé et moi. Quand l’imaginaire doit construire l’histoire

Tous les quatre ans, le public se passionne pour la plus folle aventure humaine, le Vendée Globe. Une course au large impossible à filmer pour la télévision. Et pourtant…

18 novembre 2024 à 15:59

Temps de lecture : 5 min

Le départ de la 10e édition du Vendée Globe a été donné dimanche dernier devant 450 000 spectateurs massés aux Sables-d’Olonne, et bien quelques millions devant leur poste de télévision. Plusieurs chaînes proposaient dès le matin les images tellement fortes des marins qui quittent leur famille pour trois mois de course au large en solitaire. Sans escale et sans assistance. Trois mois (disons deux et demi depuis que les bateaux sont des formule 1) de galères, de tempêtes, de petits vents (encore pire pour les navigateurs), de casses, de désespoir, d’euphorie, de risques, de compétition, d’épuisement, avant le bonheur de ramener le bateau au bercail.

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