Cinéma. Au rythme d’un homme et d’une époque

Il y a, au moins, trois bonnes raisons d’aller voir L’Etranger: la beauté des images, la performance de Benjamin Voisin, la reconstitution de l’Algérie française de 1938.

Benjamin Voisin incarne avec subtilité l’indifférence au monde de Meursault.
Xavier Schaller

Xavier Schaller

Aujourd’hui à 16:17

Temps de lecture : 3 min

Il y a, au moins, trois bonnes raisons d’aller voir L’Etranger, le dernier film de François Ozon (outre le fait de vouloir frimer en société en le comparant à la version de Luchio Visconti, tournée en 1967): la beauté des images, la performance de Benjamin Voisin (et de quelques autres), la reconstitution de l’Algérie française de 1938.

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