Springsteen: deliver me from nowhere. Le Boss en salle obscure

Le combat d’un artiste pour préserver son intégrité. Et celui d’un homme pour devenir meilleur.

Yeux fermés, tête inclinée, épaules légèrement relevées, Jeremy Allen White dans un mimétisme springsteenien.
Yann Guerchanik

Yann Guerchanik

Aujourd’hui à 05:00

Temps de lecture : 2 min

Le film s’installe en douceur, dans une sorte de détachement, comme s’il cherchait la tiédeur, la bonne température pour délivrer son propos. On pourrait croire à de l’inconséquence. En réalité, il orchestre le démantèlement d’un patrimoine.

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