Nuithonie. Brut ou pas, l’art naît d’une nécessité

En ouverture de saison, Nuithonie propose quatre spectacles et une exposition autour de l’art brut. Regarde bien ce que je suis aborde le thème sous diverses facettes et se révèle bouleversant.

Dans son petit appartement parisien, Rose (Céline Cesa) évoque l’obsession de son époux pour les coquillages.Jessica Genoud
Eric Bulliard

Eric Bulliard

27 septembre 2025 à 05:00

Temps de lecture : 3 min

Il y en a des tout simples, tendres et émouvants, dans la bouche de Rose. D’autres plus ironiques, chez ces spécialistes d’histoire de l’art qui s’écharpent. D’autres encore, cinglants, dans les chansons évoquant le destin tragique de Marguerite Sirvins. Il y a ceux l’on vous susurre à l’oreille dans l’installation baptisée La nécessité et le torrent verbal accompagnant la vie d’Augustin Lesage.

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